Ses anciens paroissiens peuvent sans doute témoigner, mieux que moi, que le Père Paul Henry était un homme de terrain, un « battant » comme on dit… d’un langage direct, sachant parfois aller droit au but. Tout droit, oui droit, le Père Henry était un homme droit… et sous cette carapace parfois difficile à transpercer, Paul Henry était bon et savait rendre service généreusement.

Si la vie s’assombrit, la vie intérieure continue : eucharistie, dons à de nombreuses œuvres caritatives et la prière, bréviaire, chapelet. C’est l’offrande du soir pour le salut du monde.

Eglise d’Autun