GALMICHE Dominique

Diacre

1954 : Né le 3 octobre au Creusot (Saône et Loire)

J’ai passé mon enfance et ma jeunesse à Paris, j’y ai fait mes études, au collège Stanislas puis à la faculté de Droit

1977 : Avec Claire, nous nous sommes mariés le 27 juillet et nous avons trois enfants : Florence, Aude et Lucile
Claire exerce la profession de médecin du travail

1979 : Depuis ma prestation de serment le 19 décembre, devant la Cour d’Appel de Paris j’exerce la profession passionnante et exigeante, d’avocat

1981 : Nous avons quitté Paris pour venir vivre à Chalon-sur-Saône

2019 : Nommé aumônier diocésain du Secours Catholique

Le diaconat

Les quinze premières années de ma vie professionnelle m’ont beaucoup accaparé au point que la quarantaine approchant j’avais, dans une certaine mesure, perdu le sens de la vie. A l’invitation de mon épouse une retraite, suivie d’une implication importante dans la communauté du Chemin Neuf m’ont donné une relation nouvelle au Christ.
Ce fut un chamboulement important dans ma vie à l’origine de choix nouveaux
A la suite d’une démarche paroissiale d’interpellation j’ai été sollicité pour réfléchir à un cheminement en vue du diaconat

2004 : Après discernement et formation j’ai été ordonné diacre permanent par Monseigneur Raymond Séguy, à la cathédrale Saint-Vincent, à Chalon-sur-Saône, le 20 juin

Ma mission

Dans un premier temps, outre l’invitation à exercer ma mission diaconale, dans mon milieu de vie, j’ai été délégué diocésain à la pastorale œcuménique. Ma mission s’est complétée par l’accompagnement des Jeunes Professionnels
Depuis une année, je suis délégué et coordinateur du groupe des diacres du diocèse. Très attaché à la spiritualité de saint Ignace, je participe à en faire partager les richesses (exercices spirituels, accompagnement, communauté, vie chrétienne…)

Cet appel au diaconat est, pour moi, une formidable aventure, qui a changé ma vie.

Deux convictions profondes m’habitent. La première est l’urgente nécessité de témoigner de la tendresse et de la miséricorde de Dieu pour chacun. La seconde est que le Christ est particulièrement présent, là où les hommes et les femmes souffrent, et qu’Il les accueille là où ils en sont, tel qu’ils sont, les invitant, incessamment, à une libération, pour aller vers plus de vie.

Le monde judiciaire est un lieu qui focalise un grand nombre de drames, de crises ou de souffrances.

De pouvoir vivre, en même temps, la profession d’avocat et la mission diaconale est une grande joie. Etre diacre me permet de faire le lien entre la réalité de ce monde et l’Eucharistie. L’ordination diaconale favorise l’unité dans ma vie, en étant présent aux joies et aux difficultés de l’humanité, tout en pouvant témoigner, le plus souvent discrètement, de l’amour de Dieu pour chacun.

Il m’est, bien sur, douloureux de constater l’existence d’un fossé qui se creuse entre le monde dans lequel je suis, l’Espérance chrétienne et l’Église. Même si cette situation n’est pas toujours facile à vivre, je peux dire que je suis un diacre heureux.

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