BOSSER Michel

Prêtre

1925 : Né le 19 janvier à Paris 18e

1927-1932 : Habite à Paray-le-Monial

1932-1935 : Habite Le Creusot

1935-1942 : Elève à Rimont

1942-1947 : Grand Séminaire

1947 : Chalon, La Colombière

1948 : Ordonné prêtre le 13 mars  par Mgr Béjot

1948-1949 : Prêtre à Gueugnon

1949-1957 : Professeur à Rimont

1958-1961 : Sanatorium

1961-1972 : De nouveau professeur à Rimont

1967 : Supérieur de Rimont

1972-1977 : Autun Saint-Lazare

1977-1980 : Directeur du Collège Jeanne-d’Arc à Paray 1980-1986_ Directeur diocésain de l’enseignement catholique

1992 : Archiviste

1995-2006 : Professeur au séminaire de Paray-le-Monial.

2018 : Décède le lundi 20 août 2018 à l’âge de 94 ans et 71 ans de sacerdoce

Mon espérance, ce qui me fait « marcher » aujourd’hui :

« Etre au service du Christ et de l’Eglise ».

Paroles de prêtres

Père Michel Bosser

Dans les années cinquante, Monseigneur Lebrun avait décidé de renouveler le corps professoral de Rimont. Ainsi se sont retrouvés quatre jeunes prêtres qui formèrent te « Pedago-trust ». Personnellement, avec la responsabilité de classes de 4e et 3e, je devais remplacer l’abbé Barbier, maître de chapelle, nommé curé en Bresse, en plein cours d’année. Les anciens Rimontains savent l’importance du chant et de la musique instrumentale dans la formation de cette époque.

Pour mieux servir l’aspect intellectuel de notre mission, il fallait conjuguer l’enseignement et la préparation d’une licence. Sur les quatre prêtres, deux ont obtenu de passer une année à l’Université catholique de Lyon. Pour les autres… bouchées doubles !

1958 : une alerte de santé m’a procuré un repos de trois années : Mardor, les Voirons, Hauteville… Retour aux sources, le jour de l’éclipse, 15 mars 1961 ! Entre-temps la communauté s’était étoffée. Plus de 150 jeunes. La création de CEG et de lycées polyvalents devait progressivement faire diminuer ces effectifs… Il fallut penser à l’ouverture du Foyer Saint Paul à Chalon pour le second cycle, tandis qu’il m’était demandé d’assurer la responsabilité du 1er cycle, de la 6e à la 3e. Rimont fonctionnera ainsi jusqu’en 1980. Les frères de Saint Jean s’installeront à partir de 1982.

En 1972, la Direction diocésaine de l’Enseignement m’a demandé de prendre la direction de l’institution Saint Lazare d’Autun et d’assurer la liaison avec l’institution du Saint Sacrement. Deux années de pain noir et trois années de brioche ! Un bref intermède à Jeanne d’Arc à Paray-le-Monial, puis il m’est demandé de prendre la responsabilité de la Direction diocésaine de l’Enseignement catholique. Au terme du mandat, c’est la création de « l’économat diocésain », avec des collaborateurs avisés et compétents. Par exemple, la commission de l’équipement avait à sa tête deux responsables du Patrimoine immobilier des usines du Creusot ! La succession fut assurée par du personnel laïc. Au départ du père Gauthey, j’ai accepté de poursuivre le contrôle des archives diocésaines… je me suis retiré à la Villa Saint Lazare, maison d’accueil pour personnes âgées, sans avoir à déménager puisque je faisais partie des murs depuis 1972. Présence sacerdotale dans un milieu sympathique.

Je pense parfois à l’épisode du centurion romain s’adressant à Jésus : « Quand je dis à mon subordonné « fais ceci, il le fait », Le Seigneur fait le reste ».

Et maintenant que faites-vous ? Telle est la question qui m’a été posée. Par chance je suis locataire depuis 1972, dans un appartement de l’ancienne Institution Saint Lazare à Autun. Depuis l’an 2000, cet ensemble est devenu résidence pour personnes âgées. Après le regroupement des élèves dans les locaux du Saint Sacrement, une première expérience « Prière pour la famille » n’a pas été menée à son terme. Un agent immobilier a racheté le tout pour en faire, non une maison de retraite mais un cadre agréable de grand standing, dans un environnement d’esprit chrétien pour des personnes d’un âge certain. Je fais partie des murs. Comme j’avais encore des activités (prestation de latin-grec et chant au séminaire de Paray, service de la Fraternité Saint Pierre à Chalon), un dominicain a assuré l’aumônerie. À son décès en 2011, Mgr m’a demandé de prendre la suite, ce que je faisais déjà en partie: messe quotidienne avec instruction, solennité le dimanche avec prêche de 10 minutes selon les recommandations du pape François et une vie partagée dans un milieu très sympathique, y compris le personnel.

Tant que Dieu me prête vie… et la tête sur les épaules ! Mes temps libres ; quelques cours de grec et de latin à des adultes et des plus jeunes dans l’esprit de Jean d’Ormesson, académicien : « lettre à ceux qui veulent couper l’arbre à la racine » !

2018 : Les 70 ans de sacerdoce du père Michel Bosser :
Une vie au service de l’Eglise

Soixante-dix ans de sacerdoce… C’est pour une « action de grâce » – et non pas une fête comme il tint à le dire – que la chapelle de Saint-Lazare accueillait, le dimanche 18 mars 2018, des pensionnaires de la Villa pour leur messe hebdomadaire, mais aussi des Anciens venus apporter leur témoignage affectueux au père Michel Bosser, lui qui fut le dernier directeur de l’institution « ancienne formule ». L’occasion pour lui de résumer – comment aurait-il pu en être autrement ! – les grandes étapes de sa vie sacerdotale.

Le père André Guimet, vicaire général du diocèse, avait tenu à célébrer cette messe. Il le fit en présentant le père Michel Bosser avec un respect mêlé d’admiration, ainsi que d’une chaude et communicative affection. Mais il ne voulait pas gâcher cette occasion d’entendre son confrère rappeler ce que fut une existence aussi riche. Il lui laissa donc la parole pour une homélie, qui n’en était pas vraiment une mais plutôt une leçon de vie, où le père Bosser n’hésita pas à manier l’humour avec ce sourire qui le caractérise.

« Per summum capita… »

– J’ai été ordonné le samedi 13 mars 1948. Nous étions six à recevoir le sacerdoce, les deux avant-derniers sont morts la semaine dernière…

– Je vais donc vous parler de ces soixante-dix années « per summum capita », par têtes de chapitres…

– Le premier : juste après mon ordination, je suis allé pour les fêtes de Pâques à St-Laurent-d’Andenay. Je ne pouvais pas mieux commencer, c’était proche de ma famille. Normalement, j’aurais alors dû recevoir très vite mon affectation. Je guettais tous les jours le facteur. Deux semaines, trois semaines, rien ne venait. Et puis finalement, la lettre est arrivée, j’étais nommé vicaire à Gueugnon. J’ai appris par le père supérieur que le Vicaire général avait oublié la lettre sur son bureau…

– Mon père m’a dit qu’il me prêtait sa moto pour y aller. En fait, c’était un vélomoteur qui perdait en vitesse ce qu’il gagnait en pétarades… J’ai pris la route traversant ce que l’on appelait le « désert vert », entre Le Creusot et Toulon-sur-Arroux, où l’on ne voyait pratiquement personne sinon des collines boisées… »

Enfin !

– Arrivé à Gueugnon, j’ai vu ce paysage d’usines qui m’était familier, comme au Creusot. J’ai cherché le presbytère, j’ai tiré la cloche, et au bout d’un moment un prêtre est arrivé. Il avait une barrette sur la tête, m’a regardé, et a eu pour seul mot d‘accueil « ah, enfin ! ». Cela voulait tout dire…

– J’ai donc mené la vie d’un vicaire avec tout ce que cela comporte : messes, baptêmes, décès – une année record il y en a eu 30 au mois de décembre pour cause d’épidémie ! Mais aussi les catéchismes, le patronage…

– Au bout d’une année, Mgr Lebrun, qui était venu pour la confirmation, m’a dit que j’étais nommé au petit séminaire de Rimont pour devenir maître de chapelle. C’était quelque chose ! Les élèves chantaient trois quart d’heure au minimum par jour, sans compter les offices. Au bout de deux ans de ce traitement, ils étaient capables de lire la musique comme on lit un roman… Avec cinq autres prêtres, nous avions fondé le « pédagogue trust ›› qui se chargeait de l’animation. Il y avait de la vie…

Le « coup de bambou »

– Les années passent. Je me sentais un peu fatigué. Et puis un jour, le camion de radiologie est monté jusqu’à Rimont. C’était une première en cent ans d’existence du séminaire. Il était venu pour les professeurs, pas pour les élèves. Deux jours plus tard, j’ai reçu une lettre m’informant que je devais aller à Mâcon pour des examens complémentaires, car le cliché de mes poumons était un peu trouble. J’y suis allé presque en sifflotant, mais cela n’a pas duré. J’ai pris un vrai « coup de bambou » sur la tête, j’avais la tuberculose…

– Je pensais en avoir pour deux ans, cela a duré trois où je suis allé dans différents sanatoriums. J’en suis sorti le 15 mars 1961. Je me souviens que nous nous sommes arrêtés en route car, ce jour-là, il y avait une éclipse de soleil !

– J’ai trouvé le séminaire bien grandi. Nous étions passés de 80 à 150 élèves. Mais cela n’a pas duré. Il y a eu un peu partout des créations de CEG, CES, qui ont fait que les élèves qui venaient du Creusot, de Montceau trouvaient ce qu’il leur fallait sur place…

– Après un intermède au foyer Saint-Paul à Chalon-sur-Saône, l’évêque m’a demandé de retourner à Rimont pour en prendre la direction. C’était une époque merveilleuse, il devait y avoir une cinquantaine d`élèves.

A Autun

– En 1972, il y a eu la création de l’ensemble d’enseignement catholique d’Autun, regroupant Saint-Lazare et le Saint-Sacrement. L’évêque m’a demandé de venir m’en occuper. Il y avait encore à l’époque six prêtres enseignants. Nous avons fait une fois une retraite à la Pierre-qui-vire pour les prêtres enseignants du diocèse, nous étions encore 75. Les temps ont bien changé…

– Au bout de six ans, le Conseil épiscopal m’a nommé directeur de renseignement catholique. Il y a eu à ce moment-là la création d’un économat, chargé notamment des questions immobilières. Je n`y connaissais rien, mais j’avais d’excellents conseillers, qui œuvraient dans ce domaine aux usines du Creusot et de Montceau. Je n’ai eu qu’à écouter, suivre leurs conseils et les remercier ensuite !

– Et puis, il y a eu la fin de la présence de l’école dans la vieille maison de Saint-Lazare. J’ai été racheté avec les murs et les meubles. Mais cela n’a pas fait augmenter le prix… Et puis je suis devenu l’aumônier de la Villa, une autre expérience…

Nunc Dimittis

– J’aurai donc passé quelque quarante ans dans cette Maison. Pour résumer mon apostolat, je dirai d’abord que je me suis toujours souvenu de cet officier romain qui se disait indigne d’accueillir Jésus sous son toit. Et pourtant, il avait des soldats sous ses ordres ; à l’un il disait « va » et il allait ; « fais ceci » et il le faisait. C’est ce que j’ai fait pendant mes soixante-dix ans de prêtrise au service de mon Eglise…

Pour terminer, je vous dirai que, dans les complies, qui sont les dernières prières du bréviaire, on trouve le psaume « Nunc Dimittis » : « Maintenant ô Maitre Souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en Paix selon Ta Parole…  Amen ».

Que ta joie demeure…

Même s`il n’est pas épargné, à nouveau, par les ennuis de santé, le père Bosser tenait à nous offrir un dernier message à la fin de la célébration. Se rendant à pas comptés aux orgues de la chapelle, où il avait si souvent officié, il interpréta magistralement « Jésus que ma joie demeure ». Un… point d’orgue pour une action de grâce tellement méritée !

 P.R.

Décès du père Michel Bosser

Le père Michel Bosser est décédé le lundi 20 août 2018 dans sa 94e année et 71 ans de sacerdoce. Ses obsèques religieuses ont été célébrées en l’église de Notre-Dame d’Autun à quatorze heures trente, le vendredi 24 août 2018. L’inhumation a eu lieu le lundi 27 août 2018 au cimetière de l’ancien séminaire de Rimont. Sa famille ainsi que des représentants du diocèse d’Autun assistaient aux funérailles.

 

Mot d’introduction aux obsèques de Michel Bosser le vendredi 24 août 2018

C’est en tant que président des anciens élèves de Rimont, où Michel Bosser a été professeur et maître de chapelle pendant 19 ans, qu’il m’a été demandé de retracer sa vie.
Je le ferai très rapidement avec bien des lacunes car sous des aspects divers, ce fut une vie bien remplie, riche et féconde. Ce que je dirai de sa personnalité est particulièrement marqué et limité par la perception que j’en ai eu en qualité d’élève à Rimont à partir de 1956.
Michel Bosser est né le 19 janvier 1925 à Paris. De 1927-1932, il habite avec sa famille à Paray-le-Monial, puis au Creusot de 1932 à 1935.
En 1935, il entre au Petit Séminaire à Rimont, de 1942-1947 au Grand Séminaire à Autun, ensuite en 1947. une année à la Colombière à Chalon-sur-Saône.
Michel Bosser est ordonné prêtre le samedi 13 mars 1948 par Monseigneur Béjot.
Son premier poste est celui de vicaire à Gueugnon de 1948 à 1949.
Puis il est nommé Maître de Chapelle et professeur à Rimont où il restera jusqu’en 1957, puisqu’à partir de cette date, on découvre qu’il est atteint de tuberculose.
Il passera donc 3 ans au sanatorium de Mardor pour y être soigné. Il retourne alors à Rimont en 1961.
Après un intermède rapide au foyer St-Paul à Chalon-sur-Saône, Michel est nommé supérieur de Rimont à partir de1967 jusqu’en 1972.
En 1972, il y a eu la création de l’ensemble d’enseignement catholique à Autun regroupant Saint-Lazare et le Saint-Sacrement. Le père évêque, Mgr Le Bourgeois demande à Michel Bosser de s’en occuper. Il y avait encore à l’époque 6 prêtres enseignants.
De 1977-1980, Michel Bosser est nommé directeur du collège Jeanne d’Arc à Paray-le-Monial.
De 1980-1986, il devient directeur diocésain de l’enseignement catholique. C’est alors qu’il est nommé Econome diocésain, chargé particulièrement des questions immobilières.
Il écrit à ce sujet: « Je n’y connaissais rien, mais j’avais d’excellents conseillers qui œuvraient dans ce domaine aux usines du Creusot et de Montceau-les-Mines. Je n’ai eu qu’à écouter, suivre leurs conseils et les remercier ensuite ».
De 1995 à 2006, Michel donne des cours au séminaire de Paray-le-Monial.
« Et puis, écrit-il, il y eu la fin de la présence de l’école dans la vieille maison de Saint-Lazare. J’ai été racheté avec les murs et les meubles, mais cela n’a pas fait augmenter le prix. Puis, je suis devenu aumônier de la villa, une autre expérience ».
Peu a peu la santé de Michel s’est dégradée.
Il s’est éteint ce lundi 20 août, entouré de fidèles qui lui apportaient régulièrement la communion et qui chantaient ou fredonnaient avec lui ces chants qu’il aimait tant, particulièrement des chants à Marie.
Il a tenu à se rendre, ne serait-ce qu’un moment, à notre dernière assemblée générale des anciens élèves de Rimont le 5 mai dernier.
En rassemblant quelques souvenirs sur sa personnalité un ancien élève de Rimont écrit ceci : « J’ai noté chez le Père Bosser »:
1) Des talents exceptionnels :
La musique tout d’abord (maitre chapelle, organiste, pianiste) Je pense qu’au paradis,
il est déjà en train de faire chanter le « dextera Domini »
Le latin et le grec qu’il traduisait sans hésitation.
Un don pour raconter des histoires
2) Une élégance :
Toujours habillé élégamment.
….Mais surtout un style pour s’exprimer, une patience avant de gronder, une persévérance
pour obtenir le meilleur du plus faible de ses élèves.
3) Une attention exceptionnelle :
Il se souvenait de tous ses anciens élèves et savait s’arrêter dans les village
pour saluer les familles des anciens.
4) Une dignité qui conduisait ses jeunes élèves à se dire :
« Quand je serai grand je voudrais être comme lui ».
5) Une amabilité :
qui était observable non seulement avec les adultes mais aussi avec les élèves.
Bref, ce fut un maître dont on se souvenait car il avait eu ce don formidable
aider les jeunes à grandir. Il fait partie des grands hommes qui ont fait Rimont…
En ce qui me concerne, il figure au nombre des éducateurs qui m’ont marqués et que j’ai admirés.
Un autre écrit: « Difficile d’enfermer le père Bosser dans quelques formules simples.
Je pense que ce qui le caractérisait d’abord était une forme d’universalisme culturel ouvert sur les « humanités » classiques et la musique.
C’était un homme très curieux des choses de l’esprit et il s’y investissait rapidement. Exemple, il avait appris l’espagnol pour que les sœurs du même nom, venues à Rimont aient un référent linguistique. Il avait assuré sans coup férir, quand j’étais en seconde un cours sur l’initiation cinématographique.
C’était aussi quelqu’un d’assez sûr de lui, à l’autorité naturelle, capable de diriger des institutions, à l’humour parfois un peu cassant »…
Rappelons qu’à Rimont, les professeurs étaient avec nous 24 heures sur 24, pour les études, l’éducation, les célébrations, les repas, les jeux, les détentes, les récréations et la surveillance des dortoirs. Pas étonnant que nous ayons été marqués à vie par leur personnalité, la qualité de leur enseignement et de leur pédagogie!
En tant que préfet de discipline pour les 7e, 6e et 5e, Michel Bosser était redoutable et redouté! Mais il savait, dans les temps de jeux et de détente nous passionner par ses histoires et sa façon de raconter l’Histoire.
Chaque jour, pendant 3/4 d’heure il nous enseignait le chant religieux, le plain chant, le grégorien, la polyphonie. Il nous apprenait l’art du chant, l’articulation, la voix de tête, la façon de poser sa voix et de suivre le rythme. Nous savions lire une partition, jongler avec les dièses et les bémols.
Sans broncher, nous étions rassemblés debout, autour de lui et de son pupitre. Il avait à la main la baguette du chef d’orchestre, baguette qui servait également pour dénoncer les canards et les fausses notes et rappeler à l’ordre les bavards et les distraits.
Lorsque venait l’exécution finale à la chapelle, nous étions conscients, fiers et heureux de participer à une célébration grandiose à la gloire du Seigneur !
Certains de nous lui doivent beaucoup dans la carrière qu’ils ont embrassée plus tard et qui fait ce qu’ils sont devenus.
Nous lui disons aujourd’hui toute notre gratitude, certains qu’en ce moment il chante avec les anges la gloire de Dieu. Dextera Domini fecit virtutem, dextera Domini exaltavit me. Alleluia ! Alleluia ! Alleluia !

Jean-François Arnoux

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